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Témoignage : Gérard Simonin - Conseiller Rivalis (Haute-Saône) donne son avis


« Rivalis, devrait être obligatoire pour les TPE !»


Avant de devenir Conseiller Rivalis en 2008, Gérard a travaillé pendant 23 ans dans un cabinet d’expert-comptable en Haute-Saône où il suivait des entreprises de différentes structures. C’est ce qui lui a donné envie de rejoindre le réseau Rivalis et d’aider les entreprises à devenir rentable.


« Un de mes rêves : aider les entreprises à améliorer leur rentabilité ».


Souvent, Gérard remarque que la problématique des entreprises est liée à un problème d’organisation du patron et à une mauvaise connaissance du fonctionnement de la société.

Aujourd’hui, le pilotage d’entreprise étant plus intégré dans l’esprit des chefs d’entreprises qu’à ses débuts en tant que conseiller, Gérard est convaincu qu’il devient nécessaire. L’accompagnement Rivalis permet alors d’augmenter les performances de l’entreprise et de gagner du temps.

Entre Conseillers et chefs d’entreprise, ce sont également des relations fortes qui naissent, des liens quasi amicaux précise Gérard.


« Le réseau Rivalis est un réseau humain extraordinaire ».


Voici la transcription intégrale de l'interview


Gérard Simonin, je suis conseiller Rivalis sur le département de Haute-Saône depuis le 1er mars 2008. Auparavant j'ai toujours été comptable, j'ai travaillé dans différents garages, j'ai travaillé aussi dans le secteur de l'industrie, dans une usine où il y avait une centaine de personnes et j'ai travaillé ensuite dans un cabinet d'expertise comptable pendant 23 ans avec une collaboratrice et on suivait environ 80 entreprises de structure différente. Alors un de mes rêves professionnels justement, c'était d'aider les dirigeants d'entreprise à améliorer leur rentabilité parce que je me suis malheureusement rendu compte trop souvent que ils travaillaient d'arrache-pied, qu'ils faisaient des heures interminables, qu'ils n'avaient pas le résultat qu'ils attendaient à la fin de l'exercice, qu'ils avaient des soucis de trésorerie, qu'ils n'en comprenaient pas la provenance et je savais qu'il y avait des choses à faire mais qu'il fallait être à leur côté, et le jour où j'ai rencontré le concept Rivalis, bien entendu je me suis rendu compte encore bien plus que la problématique venait souvent d'un problème d'organisation du chef d'entreprise, un problème de méconnaissance du fonctionnement de son entreprise, mais en définitive on avait énormément d'informations à lui apporter pour améliorer les résultats.

Et bien pourquoi Rivalis ? Parce que Rivalis est un concept complet qui fournit tous les outils dont on a besoin pour améliorer les performances des entreprises, de gagner du temps dans les différentes réalisations des différentes tâches ; et s’il fallait concevoir tout ça soi-même, systématiquement on y passerait beaucoup beaucoup plus de temps.

Le réseau est un réseau humain extraordinaire, on arrive à s'appuyer et à trouver les compétences différentes, diverses chez tous nos collègues et c'est beaucoup mieux d'être dans un réseau, d'être impliqué plutôt que de travailler seul dans son coin.

Alors la prospection pour moi, la partie qui était peut-être la plus compliquée, c'était de leur faire comprendre l'intérêt d'un accompagnement, parce que, quand j'ai commencé, il y a bientôt 11 ans maintenant, l'accompagnement sous ses différentes formes n'était pas quelque chose qui était encore réellement intégré dans l'esprit des chefs d'entreprise, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. Alors vous savez, l'accompagnement qu'on apporte, aujourd'hui j'en suis encore bien plus convaincu qu'avant, moi j'ai tendance à dire que ça devrait être obligatoire. Un chef d'entreprise, même  s'il a des résultats qui sont très bons, souvent, peut encore améliorer beaucoup de choses. Les chefs d'entreprise qui, eux ont moins de résultats, systématiquement, ont besoin de cet accompagnement de l'instant où ils ont une volonté de grandir. Les relations avec les clients c'est, je dirais, c'est des relations très fortes, puisque pour une partie on est devenus quasiment amis. Franchement, ils sont eux aussi vraiment heureux de travailler avec nous et heureux de s'appuyer sur un conseil supplémentaire.

Ce statut de conseiller m'apporte, je dirais, deux choses. La première, c'est que ça m'apporte un bien-être beaucoup beaucoup plus important qu'avant, ça m'apporte une satisfaction personnelle, alors dans on travail, mais ça m'apporte également une satisfaction, le fait de pouvoir apporter à nos clients, qui sont d'horizons divers et variés, des réponses à leurs attentes.

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